Premier bilan des Secrets du Phénix : des raisons d’éprouver un peu de fierté et de ne pas s’arrêter en si bon chemin

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Ce jeudi 24 avril 2025, j’ai publié mon premier roman, Les secrets du Phénix.

C’est un rêve que je caressais depuis tellement longtemps que je finissais par ne plus être crédible auprès de celles et ceux qui me demandaient où en était mon projet. Quand j’ai pu écrire le mot « FIN », j’ai ressenti un mélange de soulagement et de fierté : j’y suis arrivé !

Un défi personnel relevé

Combien de personnes ne se lancent-elles pas dans l’aventure pour se décourager après quelques lignes/pages/jours ? A plusieurs reprises, j’ai connu le découragement, l’abandon, l’effacement de « la merdre que je venais de pondre », j’ai changé de cap, j’ai suivi des formations, des ateliers, j’ai lu les gourous de la narration (Truby, McKee, Vögler, …) jusqu’à me perdre. Pour enfin me retrouver et passer la ligne d’arrivée en ayant écrit le livre que je voulais écrire. Relever ce défi constitue un premier motif de satisfaction.

 

Un roman, oui… mais pour être lu !

Puisque le roman existe, autant que des gens le lisent ! Mon objectif n’a jamais été seulement d’écrire pour moi, mais de raconter une histoire captivante qui puisse embarquer les lecteurs. Quitte à y avoir passé autant de temps, mon souhait est que cette histoire touche un maximum de lecteurs.

C’est la deuxième partie du défi, celle qu’on n’aperçoit pas toujours quand on se lance dans l’écriture : en plus d’être un auteur, il faut être un entrepreneur qui maîtrise le marketing. Autoéditer un roman, c’est d’abord se confronter à une montagne de démarches techniques et administratives : mise en page, couverture, ISBN, dépôt légal, publication sur Amazon KDP, statut d’indépendant, TVA, …

Ensuite, tous les auteurs vous le diront : il vous faut un site internet pour faire connaître son activité, créer une communauté et attirer des lecteurs.

Or, quiconque me connaît un peu sait que je suis à l’informatique ce qu’un Indien d’une tribu amazonienne est à la physique quantique. J’ai persévéré ici aussi : vous parcourez actuellement un site internet que j’ai moi-même conçu. Il est loin d’être parfait, mais il fonctionne. Et chaque jour, il accueille de nouveaux visiteurs. C’est un deuxième motif de satisfaction : avoir été capable de sortir de la ma zone de confort et de proposer un site qui ne fonctionne pas trop mal.

Un lancement réussi grâce à une équipe engagée

Le jour de la sortie, et dans les jours qui ont suivi, j’ai pu compter sur une équipe de lancement motivée et généreuse : une vingtaine de personnes que je remercie de tout cœur. Ils/Elles ont laissé un commentaire, acheté le livre directement sur Amazon et diffusé l’information sur leurs réseaux sociaux. Grâce à elles, Les Secrets du Phénix s’est hissé dès sa sortie dans le top 10 des thrillers historiques sur Amazon et en est aujourd’hui toujours proche.

Même si l’effet nouveauté s’estompe, les ventes continuent chaque jour. Pas de quoi m’arrêter de travailler (ça n’a jamais été l’objectif), mais c’est prometteur.

Et après ?

La promotion continue : campagnes publicitaires ciblées sur Amazon, démarchage des librairies locales, activation de mon réseau professionnel, création de contenu régulier sur ce site, contact avec des chroniqueurs (thrillarhist, les chroniques de Causette, Les bricoles d’Emily, Aurore au pays des livres, les chroniques de mcadam, …)

Et enfin, l’envie d’écrire la suite est plus présente que jamais. J’ai commencé à me documenter sur la Conférence de Berlin, toile de fond du prochain volet des aventures de Bertrand et l’intrigue commence à germer. Promis, je ne mettrai pas autant de temps à écrire celui-là…


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